14:51
3 décembre 2013
Bonjour à tous ceux qui voudront bien me répondre .
Actuellement en temps partiel thérapeutique pour une durée de 3 mois, je suis infirmière de la fonction publique hospitalière et bénéficie d'une reconnaissance de travailleur handicapé jusqu'en octobre 2017 .
J'ai été arrêté pendant 1.5 an suite à une discopathie multi-étagée et pose de prothèse discale au niveau de L5-S1 . J'habite Nantes et le "siège social" de l'hôpital dont je dépends est à Challans (distance de 65km: 130 km à faire quotidiennement) .
Mon employeur m'a proposé de venir travailler à Challans: j'ai accépté . Il m'avait déjà fait un premier choix que j'ai refusé, donc après celui-ci il ne m'en restait plus qu'un . A temps partiel thérapeutique et en journée complète, du fait de la distance, je me retrouve à travailler presque autant les jours de semaines que les week-ends . Est ce normal ? En temps partiel thérapeutique, notre poste n'est-il pas plus considéré comme un poste "renfort" et non pas comme un poste "normal" ?
Mon problème de dos ne rentre-t-il pas en compte ? Mon employeur ne devrait-il pas me proposer un poste plus proche de mon domicile ? Ou ne peut-il pas se mettre en relation avec des structures hospitalières plus importantes afin de me faire muter ? Sur ce dernier point, la DRH m'a affirmé que cela irait surement en ma défaveur !!
22:22
11 mai 2011
Le temps partiel thérapeutique entraîne une réduction du temps de travail mais pas nécessairement un aménagement du poste de travail.
Il faut rencontrer le médecin de prévention pour envisager un éventuel aménagement du poste de travail.
Le comité médical a dû être consulté pour l'attribution du temps partiel thérapeutique, il a peut-être abordé également la question du reclassement éventuel sur un autre poste de travail ?
14:05
3 décembre 2013
Merci pour votre réponse .
Ma nouvelle affectation est à priroi un poste aménagé, raison pour laquelle j'ai changé de service .
Effectivement le comité médical a statué sur le temps partiel thérapeutique, mais pour l'instant il n'est pas question d' un reclassement à un autre poste de travail . Ma DRH et le médecin de la médecine du travail n'envisage même pas la chose .
Ce que je ne comprends pas, c'est que la distance entre mon lieu de résidence et celui de mon lieu de travail a l'air d'être secondaire . Où j'exerçai avant était plus proche de chez moi, mais pas adapté à mon "handicap", et à présent c'est l'inverse . Mon poste est adapté mais mon lieu de travail plus éloigné . Que ce soit mon médecin traitant, le médecin de la médecine du travail ou la DRH, personne n'a l'air de s'en soucier . Pour eux, il faut que je me rapproche de mon lieu d'exercice professionnel !!! Enfin c'est ce qu'ils semblent sous-entendre .
Je veux recommencer à travailler, mais pas dans n'importe quelles conditions et en épargnant mes 2 disques qui sont mal en point . Cela me semble un peu compromis vu la distance quotidienne . Ma DRH, le médecin de la médecine du travail et mon médecin traitant sont au courant de tout ça : lors d'entretiens, je leur ai fait part de mes doutes quant à ma nouvelle affectation .
Que puis-je faire ?
22:04
11 mai 2011
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