

20:32

2 mars 2016

Bonjour ,
J' ai été victime de harcèlement moral durant des années . Harcèlement reconnu par la Cour d' Appel qui a condamné la société .
Parallèlement , j' ai lutté durant des années avec la CPAM qui refusait de reconnaître un accident de travail : une altercation verbale d' une rare violence avec mon ex employeur sur mon lieu de travail , altercation brutale, soudaine en rapport avec le licenciement prévu économique et transformé brutalement en faute grave . Faute grave à laquelle j' avais été poussée délibérément .
Au bout de 3 ans de combat épuisant , je viens enfin d' être prise en charge par la sécurité Sociale qui reconnaît ENFIN l' accident de travail .
Un expert psychiatre agréé par une Cour d' Appel deux ans et demi après les faits, faisait déjà état de troubles graves de mon équilibre psychologique . Durant des années , je n' ai pas consulté de médecin , pour la consolidation , je suis donc allée voir un autre médecin psychiatre ( celui qui me suivait en 2010 a pris sa retraite ) qui considère après avoir lu le rapport d' expertise de son confrère, qu'il retrouve 3 ans plus tard, le même type de lésions . Elles sont fixées selon ses propres termes . Voilà donc 6 ans que je présente des troubles de l'humeur générant un vécu moral douloureux ainsi qu'une symptomatologie anxieuse ayant entrainé une décompensation psychologique s' exprimant sur un mode dépressif .
Il est évident que dans un second temps, j' intenterai une action pour faute inexcusable de l' employeur .
Ma question est la suivante : de telles lésions graves et certifiées par un expert en 2012 et qui subsistent 4 ans plus tard dépasseront elles le fameux taux de 10/° ? Puisque c' est au moins ce taux là qui permet d' avoir une rente .
Je frémis en pensant que dans mon état , le médecin conseil ne pourrait me reconnaître que 3 ou 4/° ce qui m' obligerait à contester encore et toujours comme je l' ai déjà fait durant des années . Je suis usée . Merci de votre aide .
19:51
11 mai 2011

Nous vous conseillons de lire notre article sur le thème de l'indemnisation des pathologies psychiques : les médecins conseil utilisent l'échelle d'évaluation globale de fonctionnement, EGF pour évaluer la sévérité d'une pathologie psychique.
http://www.atousante.com/malad.....es-graves/
Ainsi un score inférieur à 60 à l'échelle EGF équivaut à une IPP de 25%
http://www.atousante.com/accid.....partielle/
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