

13:57

28 novembre 2017

Bonjour,
Mon épouse a été en arrêt maladie un mois fin 2014. Elle a repris son travail 3 mois (fin 2014 début 2015).
Puis nouvel arrêt maladie de 7 mois en 2015. Elle a alors repris un mois le travail.
Puis elle a été en accident de travail de fin 2015 à février 2017. Puis la CPAM a mis fin à son AT mais a autorisé une prolongation en arrêt maladie jusqu'à aujourd'hui (fin 2017 pour l'arrêt en-cours), soit un arrêt de 26 mois depuis l'AT.
Au total depuis le premier arrêt fin 2014 : 34 mois (1+7+26).
Je me pose la question des 36 mois maximum d'IJ.
- Est-ce que cette durée maximale s'applique même s'il y a eu des IJ en AT ?
- Ou alors la limite des 36 mois ne concerne que les arrêt maladie (hors IJ AT donc)?
- Est-ce qu'une invalidité est envisageable après les 36 mois sachant que l'arrêt maladie en-cours fait suite à un AT ?Nous sommes très inquiets car entre-temps ma femme a été licenciée en mars 2017 pour inaptitude professionnelle (pour acter une séparation avec son employeur ; contexte de dépression/burn-out ; nécessité de couper). Elle a touché une rente ponctuelle de la CPAM.
Aujourd'hui, elle n'est pas en état de s'inscrire à Pôle Emploi et ses revenus sont les IJ CPAM et le complément employeur. Si tout s'arrête d'un coup, je ne sais pas comment nous allons faire.
Merci de votre aide. Je ne sais pas si elle doit anticiper et contacter la CPAM ou attendre, sachant que son médecin lui renouvelle son arrêt mais ne semble pas bien maîtriser le sujet côté invalidité, etc. Et comme elle est dépressive, j'essaie de me renseigner.
Merci beaucoup
Jean
22:22
11 mai 2011

10:12

28 novembre 2017

Bonjour,
Merci de votre réponse;
Oui, elle a touché en février 2017 une rente d'AT en capital de 668, 20 euros correspondant à une IPP de 2%.
A ce moment-là , la CPAM a autorisé une prolongation en arrêt maladie (elle est toujours en arrêt).
A noter que le médecin psychiatre qu'elle a rencontré fin janvier 2017 à la demande e la cpam avant la consolidation de l'AT avait indiqué dans son rapport "je propose que Madame... puisse bénéficier d'un arrêt maladie et nous pouvons nous interroger sur la reconnaissance de ce trouble en maladie professionnelle hors tableau".
Ensuite, mon épouse a été licenciée pour inaptitude professionnelle.
J'ai engagé en mai 2017 une action pour contester le taux de 2% au regard des séquelles et de la perte d'emploi, mais je n'ai pas poursuivi la démarche à ce jour car je suis perdu :
- est-ce qu'en demandant une meilleure reconnaissance de l'AT je ne mets pas en péril le passage éventuel en invalidité ?
- que dois-je faire par rapport à cette hypothèse de maladie professionnelle formulée par le psychiatre de la cpam mais non reprise par le médecin conseil qui a consolidé et juste prolongé en, arrêt maladie classique. Aurais-je dû réagir ? Est-ce trop tard ?
J'avoue qu'entre AM, AT, MP, je n'y vois plus très clair. Mais je redoute que la cpam mette brusquement fin à l'arrêt maladie et que mon épouse se retrouve sans aucun revenu car elle n'est pas en état de rechercher un emploi (elle alterne les jours "normaux" et les jours où elle fond en larmes d'un coup).
En vous remerciant de votre aide,
Cordialement.
10:13

28 novembre 2017

AtouSante a déclaré
La limite des 36 mois ne concerne que les IJ maladie, il n'y a pas de limite aux IJ en AT.
De quelle rente s'agit-il ? d'une rente pour indemniser des séquelles de l'accident de travail ? Â
Bonjour,
Merci de votre réponse;
Oui, elle a touché en février 2017 une rente d'AT en capital de 668, 20 euros correspondant à une IPP de 2%.
A ce moment-là , la CPAM a autorisé une prolongation en arrêt maladie (elle est toujours en arrêt).
A noter que le médecin psychiatre qu'elle a rencontré fin janvier 2017 à la demande e la cpam avant la consolidation de l'AT avait indiqué dans son rapport "je propose que Madame... puisse bénéficier d'un arrêt maladie et nous pouvons nous interroger sur la reconnaissance de ce trouble en maladie professionnelle hors tableau".
Ensuite, mon épouse a été licenciée pour inaptitude professionnelle.
J'ai engagé en mai 2017 une action pour contester le taux de 2% au regard des séquelles et de la perte d'emploi, mais je n'ai pas poursuivi la démarche à ce jour car je suis perdu :
- est-ce qu'en demandant une meilleure reconnaissance de l'AT je ne mets pas en péril le passage éventuel en invalidité ?
- que dois-je faire par rapport à cette hypothèse de maladie professionnelle formulée par le psychiatre de la cpam mais non reprise par le médecin conseil qui a consolidé et juste prolongé en, arrêt maladie classique. Aurais-je dû réagir ? Est-ce trop tard ?
J'avoue qu'entre AM, AT, MP, je n'y vois plus très clair. Mais je redoute que la cpam mette brusquement fin à l'arrêt maladie et que mon épouse se retrouve sans aucun revenu car elle n'est pas en état de rechercher un emploi (elle alterne les jours "normaux" et les jours où elle fond en larmes d'un coup).
En vous remerciant de votre aide,
Cordialement.
5:44

6 août 2016

19:13

28 novembre 2017

juajacc a déclaré
2 pourcent ?????
En ipp pour dépression un expert m a mis 30 pourcent et 10 pour perte professionnelle... Â
Merci pour votre intervention, voilà qui me laisse sans voix...Déjà que j'avais un peu l'impression que la cpam prenait l'état de ma femme à la légère...En fait, je crois que c'est dû à sa situation. Elle a été en burn-out et quand elle a repris, elle a fait un malaise et une chute sur son lieu de travail deux mois après son retour, d'où l'accident de travail. Mais cela l'a cassée et depuis, dépression. Je pense qu'ils considèrent que tout cela est passager (j'espère aussi) et juste les conséquences d'une chute. Ils me semblent sous-estimer le fait qu'elle est vraiment mal.
Bref, pour le coup, je reste dans l'expectative...que faire ? Je vois mal la cpam passer de 2% Ã 10, 15 ou 30%...
Qu'en pensez-vous ?
22:37
11 mai 2011

jeanteul1 a déclaré
Bonjour,
Merci de votre réponse;
Oui, elle a touché en février 2017 une rente d'AT en capital de 668, 20 euros correspondant à une IPP de 2%.
A ce moment-là , la CPAM a autorisé une prolongation en arrêt maladie (elle est toujours en arrêt).
A noter que le médecin psychiatre qu'elle a rencontré fin janvier 2017 à la demande e la cpam avant la consolidation de l'AT avait indiqué dans son rapport "je propose que Madame... puisse bénéficier d'un arrêt maladie et nous pouvons nous interroger sur la reconnaissance de ce trouble en maladie professionnelle hors tableau".
Ensuite, mon épouse a été licenciée pour inaptitude professionnelle.
J'ai engagé en mai 2017 une action pour contester le taux de 2% au regard des séquelles et de la perte d'emploi, mais je n'ai pas poursuivi la démarche à ce jour car je suis perdu :
- est-ce qu'en demandant une meilleure reconnaissance de l'AT je ne mets pas en péril le passage éventuel en invalidité ?
- que dois-je faire par rapport à cette hypothèse de maladie professionnelle formulée par le psychiatre de la cpam mais non reprise par le médecin conseil qui a consolidé et juste prolongé en, arrêt maladie classique. Aurais-je dû réagir ? Est-ce trop tard ?
J'avoue qu'entre AM, AT, MP, je n'y vois plus très clair. Mais je redoute que la cpam mette brusquement fin à l'arrêt maladie et que mon épouse se retrouve sans aucun revenu car elle n'est pas en état de rechercher un emploi (elle alterne les jours "normaux" et les jours où elle fond en larmes d'un coup).
En vous remerciant de votre aide,
Cordialement. Â
Il ny aura donc pas d'invalidité puisqu'il s'agit d'un accident du travail. Vous pouvez contester le taux d'IPP...
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